Le président bazoum est toujours retenu dans sa résidence par le chef de sa garde présidentiel, cerveau de ce coup d'état. A la télévision, de hauts gradés ont indiqué mettre fin à ce régime, le gouvernement les appelle à rentrer dans l'ordre. Un pays de plus plonge dans l'incertitude. On en parle avec Jérôme Pigné, chercheur associé à l'institut Thomas More et co-fondateur du réseau de réflexion stratégique sur la sécurité au Sahel.