Philosophe de formation, Christine Cayol, qui sort son premier roman, « L’amour est un thé qui infuse lentement » (Editions Hervé Chopin), a depuis toujours une approche sensible et spirituelle de l’art contemporain. Co-fondatrice du Forum Culturel franco-chinois, sorte de Davos de la culture qui s’est réuni à quatre reprises en alternance en France et en Chine, elle a su créer des passerelles entre les artistes, les entreprises, les institutions et les politiques. Grâce à son important réseau franco-chinois et à sa pépinière de talents, Yishu 8 est devenu un incubateur de projets culturels incontournable. A l’heure où les confinements et le climat géopolitique nous éloignent les uns des autres, Bons Baisers de Pékin montre que l’on peut recréer du lien lorsqu’il n’y en n’a plus et continuer de créer ensemble pour construire le monde de demain. De notre correspondant Philippe Dova...